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Interview écrite de Mgr Loïc LAGADEC:
Ce jeudi 9 mars, le pape François a nommé le père Loïc Lagadec, jusqu’alors vicaire général du diocèse de Grenoble-Vienne, évêque auxiliaire de Lyon. Il sera ordonné le dimanche 30 avril prochain à 15h30 à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Ce viennois d’origine connaît déjà bien Lyon et notre diocèse, où il a effectué une partie de ses études.
Quelles sont vos origines et quel souvenir gardez-vous de votre enfance au niveau de la foi ?
J’aime à dire que je suis un breton de Lyon, même si je n’ai jamais habité en Bretagne ! Mon grand-père Lagadec était dans la marine de guerre : il s’est installé en région lyonnaise après la guerre d’Indochine. Côté maternel, ma famille est originaire de Corrèze et de Paris mais mes grands-parents vivaient à Sainte-Foy-Lès-Lyon ou j’ai d’ailleurs été baptisé. J’ai passé une bonne partie de ma jeunesse à Vienne, dans une famille aimante, avec mes deux sœurs. Je me souviens de ma joie lorsque je me rendais à la messe en mobylette pour rejoindre mes amis scouts. Dans ma paroisse à Vienne, il y avait une ferveur qui a été fondatrice.
Vous devenez lyonnais le temps de vos études en prépa économie aux Chartreux…
Oui, de 1992 à 1994 exactement. J’avais envie de recevoir une solide formation initiale, où l’on apprenne à réfléchir et où l’on acquiert une bonne culture générale, dans l’espérance d’intégrer une bonne école de management ensuite.
Etudiant, quel chrétien êtes-vous alors ?
A fond dans la foi ! Je travaillais beaucoup, mais je participais aussi un groupe de prières chaque mardi soir avec le Chemin neuf, j’allais à la messe en semaine à Saint-Nizier, j’étais toujours chef scout à Vienne... C’est à l’occasion d’une année d’études en Allemagne, près de Berlin et loin de mon entourage familial et amical, que j’ai pu prendre le recul qui m’a permis de réfléchir à ce que je voulais réellement faire de ma vie. C’est donc en Allemagne que j’ai décidé de rentrer au séminaire.
Quel est votre état d’esprit en entrant au séminaire ?
Je suis sûr d’une chose : je n’y vais pas pour voir ! Ma vie a réellement basculé, passant d’un étudiant chrétien fervent à un homme saisi par l’Amour du Christ, qui découvre que l’Evangile est plus grand que ce qu’il pensait, et qui veut passer l’essentiel de sa vie à partager cette Bonne nouvelle. J’ai ensuite choisi d’être prêtre diocésain, car à Vienne, j’avais été porté par une belle communauté paroissiale. J’avais conscience que ce n’était pas le cas partout, et j’avais le désir de passer ma vie à contribuer à ce que les communautés locales soient vivantes et qu’on y découvre Dieu.
D’un mot, les années de formation au séminaire ?
A Vienne, je faisais partie à l’époque de la zone interdiocésaine. Comme séminariste, j’aurais pu choisir parmi le diocèse de Grenoble, Saint-Etienne ou Lyon. Je connaissais mieux Lyon que Grenoble d’ailleurs, mais j’ai voulu asseoir mon choix sur un élément objectif : j’avais grandi à Vienne, en Isère, alors je serai prêtre dans le diocèse de Grenoble-Vienne. J’en faisais une question de loyauté. J’ai vécu toutes mes années au séminaire dans la joie et avec facilité, heureux de creuser ma foi.
Jeune prêtre, qu’est-ce qui vous motive le plus ?
C’est à Bourgoin-Jailleu, envoyé comme vicaire que j’ai appris à être prêtre. Je m’occupais plus particulièrement des jeunes scouts, de l’aumônerie, et des établissements catholiques de la paroisse. Là-bas, la foi s’exprimait avec joie. Je garde souvenir d’une célébration de Pentecôte mémorable, où l’on a vraiment senti le vent de l’Esprit souffler. Nous nous en parlons encore quand on se retrouve. Tout jeune prêtre j’ai rencontré des personnes porteuses de handicap avec Foi et Lumière. Un chant résonne : « Laisse-toi aimer par Jésus mon ami… » J’ai appris en ce lieu à me laisser aimer tel que j’étais, sans fard.
Vous êtes ensuite appelé à la pastorale des jeunes de votre diocèse…
Isèreanybody ? en un mot, c’est le réseau des jeunes catholiques d’Isère que nous avons créé avec comme point d’ancrage la basilique Saint-Joseph. Dans cette paroisse qui leur était confiée, les jeunes avaient carte blanche, ils étaient invités à inventer l’Eglise dont ils avaient besoin pour être les missionnaires de leur génération.
Saint Joseph est devenue une communauté ou l’on peut grandir dans sa foi, apprendre à s’engager dans l’Eglise, se former et aussi une communauté ou l’où peut inviter ses amis venant de tous les horizons. A titre d’exemple, le café chrétien a été pensé comme un véritable ‘’parvis des gentils’’ ainsi que l’avait demandé le pape Benoît XVI permettant de multiples liens avec la vie étudiante des campus grenoblois.
...avant d’être nommé vicaire général !
Je suis passé de la mission la plus joyeuse et la plus fraternelle dont on pourrait rêver à une mission d’une tout autre nature. Il m’a fallu faire le deuil de la vie paroissiale, et cela a été long pour moi. Mais de nature très joyeuse, je me suis alors dit : « Tu ne peux plus être curé, alors tu vas te faire serviteur de la réussite pastorale de tes confrères prêtres ». J’ai pu mesurer au bout de quelques mois qu’il était possible d’agir à cette place-là en préparant les nominations, en accompagnant les jeunes ordonnés… Pendant cette période, j’ai appris à aimer les prêtres, j’ai appris aussi à travailler avec joie et confiance avec les laïcs. (NDLR : le diocèse de Grenoble-Vienne compte environ 90 prêtres en mission, une cinquantaine à la retraite et une soixantaine de laïcs salariés).
Aujourd’hui, vous êtes nommé évêque. Comment accueillez-vous cette nouvelle ?
J’ai à nouveau dit oui au Christ. Ce oui s’inscrit dans la suite des oui déjà donnés. Oui à l’Evangile ; oui à mon désir de servir l’Evangile et l’Eglise. J’accueille cette nouvelle avec tremblements mais je fais confiance à ceux qui m’appellent. Je l’accueille aussi avec la joie d’un missionnaire qui part, qui quitte quelque chose et qui va avec joie pour travailler à la vigne du Seigneur d’une autre manière.
Un mot pour les Grenoblois que vous quittez ?
J’avais peur de leur dire adieu mais je leur dis au revoir car je ne pars pas très loin ! J’ai surtout envie de leur dire MERCI. J’ai été enfanté dans ma foi en Isère. J’ai appris à être prêtre auprès d’eux, j’ai servi passionnément, j’ai aimé les gens que j’ai rencontré. J’éprouve une profonde gratitude pour tout ce que j’ai reçu et vécu avec eux.
Que voulez-vous dire aux lyonnais et roannais ?
J’arrive à Lyon avec le désir de poursuivre ma vie au service de l’Amour et de la foi. Apprenez-moi à être l’évêque auxiliaire dont l’Eglise a besoin !
Vidéo de présentation (KTO-TV)
Vœux de Noël de sœur Marie-Pierre
Cette année je célèbrerai la fête de la nativité d'une manière bien différente au Vietnam ... mais c'est la même foi, fervente, ici.
Quelques crèches dans des quartiers où nous allons prier avec des chrétiens une fois par semaine dans des familles.
Des nouvelles de Sœur Marie-Pierre
De Hô Chi Minh Ville (Saïgon)
Un grand bonjour à tous !
C'est en effet depuis le Vietnam que je vous écris après quatre mois, envoyée auprès de nos sœurs à la communauté de Hô Chi Minh, capitale économique du Sud du Vietnam !
Il faut bien quelques semaines ou mois d'adaptation pour s'habituer au climat chaud et orageux ; en ce moment, c'est la mousson. Le corps n'est pas habitué à une telle chaleur humide.
Arriver dans une autre culture demande d'écouter, de regarder, d'accepter de ne pas comprendre de suite et aussi de s'émerveiller de cette vie si différente de la France, une vie toujours en mouvement !
Depuis fin juillet j'ai commencé les cours de vietnamien ! 2 h par jour du lundi au vendredi !
C'est un beau moyen pour commencer à entrer un peu dans la culture :
par exemple, il y a plusieurs façons de dire « je » ou « tu », selon notre âge et la position de la personne à qui l'on parle, plus jeune ou plus âgée, donc ne pas être étonné si l'on nous demande notre âge lors d'une première rencontre !
Ecrire le vietnamien ça va, avec un peu de mémoire visuelle mais parler est plus difficile à cause des 6 tons qu'une même lettre peut avoir ! Cependant si l'on oublie un signe ou un accent, le mot n'a plus du tout le même sens ! J'ai deux professeurs femmes, une du nord du Vietnam et une du sud, car la prononciation n'est pas la même; je suis donc gâtée ! Elles sont heureusement sympathiques !
Je vais au cours en bus dans le centre d'Hô Chi Minh. C'est le moyen de locomotion pour les étudiants, les personnes âgées, les étrangers...brefs ceux qui n'ont pas de scooter ! Car ici, le moyen de transport le plus courant est le scooter ! C'est ainsi que je connais mieux que mes sœurs les trajets en bus !
Il y a 3 ans j'avais pu vivre cette expérience de cette foule en scooters; c'est impressionnant, surtout aux carrefours ! On peut voir une famille avec des enfants sur un scooter, avec des bébés. Les enfants peuvent poser leur tête sur un petit coussinet à l'avant et dormir au milieu de ce brouhaha ... !
Pour traverser la rue à pieds mieux, vaut s'engager lentement mais de façon assurée et tranquillement nous passons au milieu des scooters... impressionnant comme expérience, aller son chemin calmement au milieu de tous !
Mais aujourd'hui, il y a de plus en plus de voitures... et de grosses voitures ! Les riches prennent la maladie … du confort individuel. Le Vietnam se développe en effet beaucoup économiquement. De mon école je peux voir pas moins de 13 grues de chantier en cours. Les chantiers, constructions de maisons, travaux publics..., peuvent avancer vite, en effet, les ouvriers travaillent du lundi au dimanche... Une ligne de métro est aussi en construction.
Grâce à mon trajet en bus, je vois la vie dans la ville. Et comme la vie au Vietnam est dans la rue, je vois les rues animées : les petits magasins sont ouverts sur la rue. C'est ainsi que je vois les gens sur les trottoirs, assis sur des tabourets en plastique, prenant leur repas dehors à tout heure du jour: bún bò huế, hủ tiếu, plats de nouilles - légumes- viande, jus de fruits, café…. Un vendeur de café chaud ou glacé côtoit un magasin de fruits, un magasin de meubles, un de compositions florales... un réparateur de scooter, un coiffeur … tous à la suite les uns des autres, tout au long des rues. Les maisons sont étroites et construites en hauteur, les rez-de- chaussée sont réservés au commerce !
La société vietnamienne change. Les influences de la société de consommation, de la société de l'image, des performances individuelles bouleversent les valeurs culturelles traditionnelles et la vie des familles.
Il n'y a bien sûr pas de sécurité sociale, alors un événement, maladie ou accident grave, peut changer la vie d'une famille en un instant. La solidarité familiale reste très forte.
Presque tous les jours, à la sortie de mon cours, je rencontre à l'arrêt de bus, un jeune de 32 ans, Tâm ! Tâm a posé son vélo contre un arbre. Accroupi, il regarde la vie dans la rue. Tâm semble avoir un léger handicap. Il devient peu à peu un ami. C'est plutôt lui qui m'a fait son ami... me faisant un signe d'amitié à chaque fois... C'est une petite occasion pour moi de parler et d'apprendre à comprendre petit à petit le vietnamien... !
Je suis en communauté avec 3 sœurs vietnamiennes – qui parlent français!-
Deux ont un travail salarié et une finit ses études. Une est assistante de professeur d'anglais dans une petite école maternelle ! Oui, les enfants vietnamiens apprennent très tôt l'Anglais. Une autre sœur est secrétaire dans une petite école maternelle et primaire. La rentrée scolaire a eu lieu début septembre pour les écoles d'Etat. Mais pour les écoles primaires et maternelles « privées » - sans mettre la connotation que ce mot a en France !- l'enseignement ne s'arrête pas les mois de juillet et août ! Beaucoup d'enfants doivent prendre des cours supplémentaires les samedis et dimanches pour suivre le cursus normal. Le salaire des professeurs n'est pas très élevé. Ils font ainsi des cours supplémentaires pur augmenter leurs revenus.
L'expresion de la foi au Vietnam est très étonnante pour quelqu'un qui arrive de France, pays laïc ! Elle est exprimée ouvertement … Nous pouvons ainsi voir d'immenses statues de Marie, de Jésus sur les terrasses en haut des maisons, ou bien un chauffeur de bus affiche une image du Sacré Cœur de Jésus dans son bus! A l'entrée de magasins, on peut trouver un petit autel pour les offrandes bouddistes...
Nous sommes dans la paroisse de Notre Dame du Bon Secours. Elle est répartie en 12 quartiers qui portent un nom, le nôtre s'appelle le quartier de « la Visitation ».
Mes trois sœurs sont catéchistes à la paroisse. Le catéchisme est le dimanche matin après la messe pour tous les enfants et jeunes de 7 ans à 20 ans ! Au repas de midi, à la communauté, c'est l'occasion de parler des enfants. Peu à peu, elles connaissent mieux les familles, leurs difficultés sociales, relationnelles. Les enfants sont dépendants des difficultés de leurs parents. Pour certains, le catéchisme est le lieu où ils peuvent être aimés, acceptés comme ils sont.
Si je vous dis qu'il y a 600 enfants et jeunes catéchisés, vous comprendrez que c'est une grande paroisse ! Qui catéchise ? Des sœurs mais aussi beaucoup de jeunes qui, après le cursus de catéchèse, se forment à devenir assistants catéchistes puis catéchistes. C'est une grande richesse pour la paroisse.
La foi s'exprime beaucoup dans la liturgie. Deux messes par jour : à 5h15 du matin après le chapelet à 4h45, et à 18h le soir ; le dimanche 4 messes dont celle pour les enfants à 8h.
L'Eglise du Vietnam est consacrée à St Joseph. Tous les mercredis nous le prions plus spécialement.
Marie est aussi beaucoup priée dans cette paroisse : il existe des groupes de « légion de Marie ».
Chaque quartier organise, un soir par semaine, une prière dans une famille, souvent pour faire mémoire d'un défunt. C'est l'occasion pour nous d'aller prier chez les gens dans différents quartiers. De temps en temps, nous avons accueilli cette prière de quartier à la communauté
Le jour de la pleine lune de septembre, fête de la mi-automne, c'est la fête des enfants, – cette année c'était le 10/09 -. La veille, nous avons accueilli à la communauté, des enfants de familles non chrétiennes et plus pauvres d'un quartier à côté de chez nous : jeux, conte, peinture de petites statuettes, petit repas, procession aux flambeaux …Ce fût un bon moment qui a rassemblé des personnes d'origines diverses, aussi des neveux et nièces d'une de nos sœurs, des collègues d'une autre sont venues participer, des jeunes en recherche de vocation étaient avec nous... c'est un rendez-vous annuel depuis la fondation de la communauté, fin 2018.
En ce moment nous accueillons une autre de nos sœurs vietnamiennes, Lan Chi, qui fait sa formation en France. Elle est revenue au Vietnam pour deux mois. C'est pour elle l'occasion de redécouvrir son pays comme jeune sœur après un long temps d'absence à cause du covid notamment. Nous sommes allées dans son village natal célébrer une messe d'action de grâce avec sa famille.
Lan Chi repartira en France pour poursuivre sa formation. Peut-être la verrez-vous dans la vallée ? Elle a déjà eu l'occasion de venir à St Just et à Grandris...
Voilà quelques échos de mes premiers mois dans ce pays d'Asie très accueillant!
N'oubliez pas, notre quartier s'appelle « visitation », peut être aurez-vous l'occasion de venir nous visiter ?
Je remercie tous ceux qui m'ont manifesté d'une manière ou d'une autre leur amitié.
Je vous reste bien unie dans la communion de prière.
Marie Pierre
Soeur du Prado
Fête de « la mi automne », fête des enfants : des enfants du quartier invités à la communauté ce soir-là.
Sr Ân avec le personnel de son école, le jour de la fête des enseignants, le 20 novembre
À gauche Sr Thu dans sa classe d'anglais Sr Thoa avec des confirmands
Catéchisme Tout se transporte sur un scooter
Messe d'action de grâce pour notre sœur Lan Chi
Petits commerces Au Vietnam, n'oublie pas ton casque ni ton masque !
À l'oratoire de la communauté au dernier étage de la maison
Jubilé de Fondation des 100 ans des Missionnaires Catéchistes du Sacré-Cœur.
Les Sœurs du Prado à GRANDRIS
Depuis l’année dernière, plusieurs changements ont eu lieu au sein de la communauté des Sœurs du Prado résidant sur le village de Grandris.
Sœur Pierrette est arrivée en août 2021. Originaire de la région Orléanaise, Sr Pierrette a sillonné la France en étant de communauté dans le Cher, en Camargue, à Villeurbanne puis dans les Hautes Alpes, dans l’Allier, le Tarn, le Nord « Le Cateau », et depuis un an à Grandris où elle s’est bien intégrée dans notre village et notre communauté. Elle participe en effet activement à la visite des malades, à l’aumônerie de l’hôpital-EHPAD ainsi qu’au fleurissement de notre église.
Sœur Marie-Pierre est partie pour le Viêtnam, il y a quelques mois. Elle apprend la langue avec courage.
Au mois d’août dernier, ce fut le départ pour Lyon de sœur Marylène qui a été nommée Trésorière générale de la Société de vie apostolique des Sœurs du Prado, une fonction importante avec beaucoup de responsabilités… Merci à elle pour sa disponibilité durant les années passées sur notre paroisse, en particulier avec les jeunes de l’aumônerie.
Puis dernièrement l’arrivée de sœur Marie-Aimée : née à Chaussan dans les monts du Lyonnais, son parcours l’a menée en divers lieux : dont la communauté de Denicé, elle était alors sœur du monde rural.
Sr Marie-Aimée est restée 15 ans à Lyon, dont 12 ans comme Conseillère générale avec les Sœurs du Prado. Pour accompagner les sœurs, elle a fait de nombreux et longs séjours à Madagascar. Nous lui souhaitons la bienvenue parmi nous !
Sœur Pierrette et sœur Marie-Aimée ont rejoint sœur Yvonne qui cette dernière se fait une joie de les accueillir.
Sœur Marylène
Sœur Pierrette
Sœur Marie-Aimée
Sœur Yvonne
Un peu de temps pour la vie de notre clocher…
Durant cette année 2022-2023 se tiendront des rencontres « par clocher » sur notre paroisse de St Joseph d’Azergues.
(anciennement appelées : équipe relais)
Le but de ces rencontres sera de revisiter les différents services et responsabilités au niveau de chacun de nos clochers.
Ces rencontres sont ouvertes à tous celles et ceux qui le désirent et veulent ainsi donner un peu de leur temps pour le bien de tous.
Nous vous remercions d’avance de votre disponibilité.
Départ de Soeur Marie-Pierre pour le Vietnam.
Depuis quelques mois je suis en attente de pouvoir rejoindre notre communauté au Vietnam !
Notre Communauté des Soeurs du Prado a en effet été fondée au Vietnam en décembre 2018, avec 3 jeunes vietnamiennes formées en France, et 2 soeurs, une française et une coréenne.
A cause des mesures sanitaires les soeurs étrangères ont dû quitter le pays en juillet dernier. Nos 3 soeurs vietnamiennes sont seules depuis le mois de juillet. Je les rejoins en visio chaque semaine.
Maintenant, c'est le temps pour moi de les rejoindre physiquement.
Deux soeurs ont un travail, une finit ses études de théologie. Elles sont bien insérées dans le quartier et la paroisse.
Je confie à votre prière ce grand changement ! Que je reste ouverte à cette nouveauté de la vie de l'Esprit au Vietnam !
Merci pour tous les liens créés ou renouvelés depuis 3 ans que je suis à Grandris.
Nous nous confions à la Joie de l'Esprit Saint, Esprit du Seigneur toujours présent dans nos vies.
Bien fraternellement
Marie Pierre
Appel pour le Denier de l’Église
Au premier décembre, pour notre diocèse, le retard sur le denier par rapport à 2020 est de plus de 1 million d’euros, et de 500 000 euros par rapport à 2019 !
La situation n’est pas encore dramatique mais elle est tendue pour boucler le budget de l’année.
Matériellement, notre Eglise ne vit que de vos dons.
Donner au Denier c’est assurer que nos prêtres et laïcs en mission ecclésiale puissent transmettre et faire vivre notre foi, que nos séminaristes soient bien formés, que les prêtres âgés soient correctement pris en charge après de longues années au service.
Alors pour eux, merci de ce que vous pourrez faire en donnant au Denier avant le 31 décembre (ce qui vous permettra, si vous êtes imposables, d’allier générosité et avantage fiscal) !
Un très grand merci
Père Matthieu Thouvenot
Vicaire général
Véronique Bouscayrol
Econome diocésain
Votre don peut se faire
La paroisse St Joseph d’Azergues souffle ses 20 bougies !
et fête le jubilé de son Pasteur.
Grandris - Dimanche 26 septembre 2021
Pèlerinage à Notre Dame de la ROCHE
La messe a été célébrée en plein air par Monseigneur Olivier de GERMAY devant une grande assemblée.
Cette messe a été suivie par la bénédiction de la statue de Saint Joseph. Celle-ci était auparavant sur la façade du couvent de Claveisolles. Elle a été installée tout près de l'église.
Quelques paroissiens de notre paroisse ont participé à cette célébration et aux cérémonies de l'après midi.
Voir diaporama: Cliquer ICI
Permanence : Les samedis de 10H00 à 11H00
Salle Notre Dame de Fourvière "Presbytère"
17 Chemin de Biconne
69870 Lamure sur Azergues
Adresse:
Paroisse Saint Joseph d'Azergues
17 Chemin de Biconne
69870 LAMURE SUR AZERGUES
Téléphone: 04 74 03 01 11 (aux heures de permanence: samedi de 10h 00 à 11h00)